
Ces pensées, papillons de nuit,
Volettent tout autour de mon esprit-lanterne
Qui se prend pour une vessie
Et pisse au beau milieu de ma tête-caverne.
Éloignez-vous, beaux papillons,
Sinon vous grillerez vos ailes mirifiques
À ce sinistre lumignon
Et cherrez, déconfits, dans le liquide urique.